jeudi 30 octobre 2014

Une bonne idée pour patienter au feu ...


Une excellente idée pour que les gens cessent, par impatience, de traverser n'importe quand.
Quand une bonne idée peut sauver des vies...

mercredi 29 octobre 2014

Toussaint gustative





La fête de la Toussaint arrive. Il est parfois difficile de matérialiser la chose avec les enfants. Je rêve de faire chez moi un défilé des saints patrons avec mes enfants. En attendant, en navigant l'année dernière, j'avais trouvé cette idée à la fois sympathique et concrète : fabriquer des gâteaux "de la Toussaint" surmontés de petites pancartes avec le saint patron de chacun des convives.

Gâteau de la Toussaint :


Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 30 minutes
Ingrédients (pour 12 Personnes) :- 150 g de noisettes (ou noix) moulues
- 140 g de beurre
- 140 g de sucre
- 3 blancs d’œufs
- 80 g de farine

Pour la glaçage (facultatif) :

- 140 g de sucre glace
- 1/2 paquet de sucre vanillé
- 3 jaunes d’œufs 

Préparation de la recette :


Battre les blancs en neige ferme.

Faire fondre le beurre.
Mélanger les noisettes, le beurre fondu, le sucre et la farine.
Ajouter délicatement les blancs battus.
Verser la pâte dans des moules à muffin, préalablement beurrés.
Cuisson au four : 30 min, thermostat 6.
Glaçage (facultatif), à mettre sur les gâteaux encore très chauds :
Battre vigoureusement les jaunes d’œuf, le sucre glace et le sucre vanillé.
Étaler la préparation obtenue sur les gâteaux démoulés, dès la sortie du four.

Ornements :

Ecrivez le nom du Saint patron de chacun de vos invités sur des petites fiches cartonnées.
Passez un bâtonnet (cure-dent) à travers les petites pancartes et piquez-les dans vos "Gâteaux de Toussaint".

Délicieux accompagné de fromage blanc...


Bonne fête !


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mardi 28 octobre 2014

L'heure bleue


Comme beaucoup de parents, comme beaucoup de mamans, l'abondance de choses à faire, de décisions à prendre, perpétuellement interrompue tout en réglant les imprévus me laisse régulièrement sur le carreau. Vidée.

Alors, pour ma santé mentale, je me suis organisée pour survivre dans cette jungle.

J'impose à mes enfants le respect d'un temps off. Initié lorsqu'ils faisaient la sieste, ce temps demeure même sans le temps de sommeil. Après le déjeuner, mes enfants ont interdiction formelle de venir me déranger (sauf cas de force majeure). Sinon je mords !
Ce temps sans interruptions intempestives m'aide à retrouver des forces pour la suite.
Impossible pour moi de passer outre, ou alors c'est à mes risques et périls ( et aux leurs également) !

Et dernièrement, j'ai fait la connaissance de l'heure bleue.

On m'en avait parlé.

Je savais que d'autres profitaient de ce moment depuis longtemps mais je n'avais jamais vraiment essayé.

L'heure de la lumière bleutée du début de la nuit...et pourquoi pas les quelques heures qui suivent ensuite...

La nuit, le calme, la quiétude qui l'accompagnent me tendent les bras.

Même lorsque la fatigue physique se fait sentir, choisir entre ce moment de paix et le sommeil est un vrai dilemme. Le bénéfice de chacun étant, pour moi, à peu près équivalent. Cette impression d'avoir la nuit devant moi est irrésistible et source d'un bien-être salvateur après l'agitation diurne. Seul moment où je suis quasi certaine de n'être pas interrompue, seul moment où ma réflexion peut s'évader, prendre le large et un peu de hauteur (sortir la tête du guidon, ne serait-ce que quelques minutes, ça permet d'apprécier la vue !). Mmmmm...quel délice...
Alors, depuis cette découverte, je traîne mes cernes, certes. Mais j'ai enfin le temps de vraiment respirer, de me ressourcer, de reprendre des forces. Et ça vaut bien quelques cernes de temps en temps.

lundi 27 octobre 2014

C'est ben désolant tout ça...

Ce qui est désolant...

Ce n'est pas d'avoir des problèmes, c'est de ne pas chercher de solutions; 


Ce n'est pas d'avoir eu des échecs, c'est de ne pas continuer;

Ce n'est pas de tomber souvent, c'est de ne pas se relever plus souvent;

Ce n'est pas d'avoir peu d'argent, c'est de ne pas enrichir son esprit ; 

Ce n'est pas d'avoir été refusé, c'est de ne pas demander une fois de plus;

Ce n'est pas d'avoir été insulté, c'est de ne pas sourire;

Ce n'est pas d'avoir été déçu, c'est de ne pas espérer encore;

Ce n'est pas d'avoir été trahi, c'est de ne pas pardonner;

Ce n'est pas de manquer de maturité, c'est de ne pas chercher à mûrir;

Ce n'est pas d'avoir fait faillite, c'est de ne pas essayer une autre fois;

Ce n'est pas d'avoir des handicaps,
 c'est de ne pas les surmonter;

Ce n'est pas d'être laid,
 c'est de ne pas embellir sa vie;

Ce n'est pas d'être illettré,
 c'est de ne pas chercher à s'instruire;

Ce n'est pas d'avoir des difficultés,
 c'est de ne pas persévérer;

Ce n'est pas de perdre quelque chose,
 c'est de ne pas conserver son enthousiasme;

Ce n'est pas d'avoir manqué son départ,
 c'est de ne pas recommencer;

Ce n'est pas d'avoir manqué son objectif,
 c'est de ne pas avoir d'objectif;

Ce n'est pas de ne pas se sentir aimé,
 c'est de ne pas aimer les autres;

Ce n'est pas d'avoir peur,
 c'est de ne pas faire face à ce qui fait peur;

Ce n'est pas d'être seul au monde,
 c'est de ne pas aller vers les autres;

Ce n'est pas de n'être pas compris,
 c'est de ne pas comprendre les autres.


Source : Jean-Guy Lebœuf, Grains de sagesse, p. 202

vendredi 24 octobre 2014

Découvertes archéologiques de la plus haute importance...

L'autre jour, tandis que j'emmenais mon cadet à la piscine, mon Albatros et sa cousine ont profité de mon absence et de leur oisiveté pour organiser une exposition archéologique en deux temps trois mouvements.
Je vous laisse savourer les notices des matériaux retrouvés lors de leurs fouilles... (écriture "ronde", l'Albatros, écriture "penchée", sa cousine, 8 ans).

mercredi 22 octobre 2014

mardi 21 octobre 2014

Lorsque tu ne me regardais pas...


Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e) accrocher
au mur mon premier dessin, et j'ai voulu immédiatement
en produire un deuxième...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e) nourrir
un chat perdu et j'ai compris qu'il fallait être bon
pour les animaux...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e)
préparer mon gâteau préféré, alors j'ai compris
que les petites choses sont très importantes dans
le vie...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai entendu (e)
prier et j'ai compris qu'il y avait un Dieu et que je
pouvais lui parler et avoir confiance en Lui...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e)
préparer un repas et aller le porter à un ami qui était
malade et j'ai compris qu'il faut s'entraider les uns
les autres...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e) donner du
temps et de l'argent à des gens nécessiteux et j'ai
compris que ceux qui peuvent doivent aider ceux qui en
ont besoin...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e)
nettoyer la maison et voir aux besoins de chacun
de nous et j'ai compris qu'il fallait respecter les
autres et prendre soin de ce qui leur appartient...

Lorsque tu ne me regardais pas, je t'ai vu (e)
prendre tes responsabilités au sérieux même
quand tu ne te sentais pas bien et j'ai compris ce qu'est
être un adulte responsable...

Lorsque tu ne me regardais pas, j'ai vu des
larmes dans tes yeux et j'ai compris qu'il y a des
choses qui nous font souffrir et que l'on peut
pleurer...

Lorsque tu ne me regardais pas, j'ai vu combien tu
nous aimais et j'ai voulu devenir la meilleure
personne qu'il m'était possible d'être, comme toi...

Lorsque tu ne me regardais pas, j'ai appris de toi
toutes les leçons importantes de la vie dont
j'avais besoin pour devenir une
personne productive en grandissant...

Lorsque tu ne me regardais pas, je te regardais et je
voulais te dire:
" Merci pour toutes les choses que je t'ai vu (e) faire
pendant que tu ne me regardais pas."

Auteur inconnu (si jamais vous le retrouvez, ça m'intéresse !)

lundi 20 octobre 2014

J'en ai de la chance !

Image et concept : la fabrique à bonheurs

Les vacances arrivent enfin (pour certains), l'occasion de prendre du temps pour se réjouir un peu de nos enfants. En voyant cette image sur le blog de la Fabrique à bonheurs, je me suis dit que c'était parfait pour essayer de changer de regard et pour lever la tête du guidon.

Réjouissez vous !

jeudi 16 octobre 2014

S'émerveiller de toute chose...suite



Si nous pouvions avoir la même réaction que cette petite fille face à la pluie...un émerveillement intact et un éveil tous les sens !

vendredi 10 octobre 2014

Message in a bottle


A la dame du train Paris-Nancy du 23 juin 2014
(je sais, ça date, mais bon...)

mardi 7 octobre 2014

Prière secrète d'un enfant à ses parents

Maman, Papa
Je vous serais reconnaissant
De ne pas toujours chercher
A expliquer, à comprendre.
Maman, Papa
Ne perdez pas trop de temps
A me raisonner, à me rassurer.
En vous occupant de vos peurs
Vous m’aiderez à rendre plus vivante,
Notre relation.
Maman, Papa
Je vous supplie
Ne me laissez pas croire
Que mes désirs sont tout puissants.
Maman, Papa
Je vous en prie
Prenez le risque de me frustrer
Et de me faire de la peine
En refusant certaines de mes demandes
Maman, Papa
Je vous remercie infiniment
De savoir me dire non,
De ne pas m’entretenir dans une illusion
Que vous pouvez être tout pour moi
Et que moi je suis tout pour vous
Maman, Papa
Surtout
Entendez mes désirs
Mais n’y répondez pas tout de suite.
En les satisfaisant tout de suite.
En les satisfaisants de trop vite… vous risquez de les assassiner.
Confirmer-moi que j’en ai, qu’ils sont recevables
Ou parfois irrecevables
Mais ne les prenez pas en charge à ma place.
Maman, Papa
S’il vous plaît,
Ne revenez pas trop souvent sur un refus,
Ne vous déjugez pas,
Pour que je puisse ainsi me situer, découvrir
Mes limites, avoir des repère clairs
Et m’affirmer, face à vous.
Maman, Papa
Même si je réagis, si je pleure,
Si je te dis à toi Maman « méchante et sans cœur… »
Reste faible et stable.
La consistance de ton positionnement
Me rassure et me construit.
Si je t’accuse toi Papa « de ne rien comprendre »
Ne m’enferme pas dans mes réactions,
Par un rejet ou un refus sans appel.
Maman, Papa
De grâce !
Vous n’êtes pas obligés,
D’être des parents 24 h sur 24,
Ni même d’être parfaits.
Au de la de vos rôles actuels
J’ai besoin de rencontrer non seulement
La femme ou l’homme que vous êtes,
Mais aussi la petite fille ou
Le petit garçon que vous avez été.
Maman, j’ai parfois besoin d’une mère, mais aussi d’une maman
Papa, n’hésite pas à être un père
Mais accepte sans réticence de montrer le papa qu’il y a en toi
Maman,
Papa, vous dire à chacun,
Que je ne suis que votre fils,
Que je ne suis que votre fille
De Jacques Salomé, psycho-sociologue et écrivain français.

lundi 6 octobre 2014

Les mots magiques


A la demande d'Anne-Laure, voici un petit billet sur comment apprendre les mots magiques à nos enfants et, comble de la prouesse éducative, les amener à s'en servir le plus fréquemment possible...(ben quoi, on peut rêver non ?)


vendredi 3 octobre 2014

Just be nice



Une petite vidéo plutôt faite pour les enfants. Mais ça ne fait pas de mal aux grands...

jeudi 2 octobre 2014

Facteur chance


Même si je ne suis pas forcément d'accord avec ce monsieur sur la responsabilité des gens face à leur malchance (vous verrez ça vers la 2e minute il me semble). Je pense qu'effectivement la chance se travaille et qu'en cultivant certaines attitudes on favorise la chance. Je partage aussi le fait que bons ou mauvais, les évènements sont ce que nous en faisons. D'où l'interêt de developper chez nos enfants la confiance en soi et l'optimisime pour mieux rebondir (facile à dire, hein !)
Sinon, apprendre à saisir des opportunités quand elles se présentent, super. Développer l'opportunisme chez mes enfants, moins. Trop d'opportunistes autour de moi, je trouve que l'apprentissage de la fiabilité et de l'engagement c'est bien aussi !
Et vous, vous en pensez quoi ?

mercredi 1 octobre 2014

Age d'or

Parce que le temps de l'enfance me fascine toujours et qu'il dit cela si bien...